Desinvitations autour du thĂšme de la pĂȘche. Si, pour un anniversaire ou pour un dĂ©jeuner un jour de 1er avril, vous avez choisi le thĂšme de la mer et des poissons pour orchestrer votre Bonjour Ă  tous amis pĂȘcheurs, Un peu plus au nord de la Franche-comtĂ© on trouve une rĂ©gion on l’on peut y faire Ă©galement de trĂšs trĂšs grosses truites. Je vous parle ici de la pĂȘche en Lorraine !!! Voici quelques photos des truites que l’on peut y faire, prises essentiellement dans la rĂ©gion autour de Nancy, Metz, Épinal, Verdun, et Ă  la mouche Nymphe Ă  vue, nymphe au fil, pĂȘche au streamer, etc par des amis et rencontres notamment grĂące Ă  mon ex blog de pĂȘche. Je voudrai regrouper ici toutes les truites record de la rĂ©gion Lorraine. Je sais c’est ambitieux donc aidez moi svp. Comme disait Lee Wulff “Le poisson que vous remettez Ă  l’eau est un cadeau que vous faites Ă  un autre pĂȘcheur, tout comme il s’agit peut-ĂȘtre d’un cadeau qu’un autre pĂȘcheur vous a fait” alors je vous l’annonce, vous aurez peut ĂȘtre la chance de faire ces poissons magnifiques de Lorraine car nous les relĂąchons tous
 Vous aussi, vous pouvez contribuer Ă  cette galerie de big fish en Lorraine en m’envoyant vos photos de truites de 50+ !! Restez connectĂ© car je mettrai Ă  jour cet article dĂšs que possible. A bientĂŽt No votes yet. Please wait...Voting is currently disabled, data maintenance in progress.

LeColorado, pas si facile ! Schlik ! Schplof ! Les BWO (Blue Winged Olive) dĂ©valent frĂ©nĂ©tiquement sur le lisse cristallin de la South Platte River. J’ai devant moi un banc de farios (oui, en AmĂ©rique un banc de truite ça existe) qui sont attablĂ©es « Ă  la cantine ».

15 juillet 2008 2 15 /07 /juillet /2008 2035 La truite sur la Tay, la Lyon et la Tummel Le temps d'une bonne lessive, de sĂ©cher le tout; et dans le sous-sol, en plus ! Raison il pleut des cordes depuis un mois et le sĂšche-linge m'a laissĂ© lamentablement tomber ! Et c'est le dĂ©part pour l'Ecosse. Pays qui n'est pas rĂ©putĂ© pour sa sĂšcheresse. Ici, les riviĂšres sont dans les prĂ©s. Alors lĂ -bas... Un camping-car, ça peut attendre, pas un avion alors, malgrĂ© tout, il faut partir. Trois avions, en fait Toulouse-Londres, Londres- Edimbourg, Edimbourg-Inverness. Le temps de goĂ»ter la biĂšre anglaise, pendant les heures d'attente. Comme ça, en arrivant Ă  Pitlochry, nous saurons par laquelle commencer. Pitlochry oĂč nous avons louĂ© - oĂč les copains ont louĂ© encore une fois, je me laisse porter ! - un bungalow pour six personnes. Alors Ă  trois, ça devrait aller ! Cette fois, ce sont les copains , B... et D... qui viennent manger et coucher chez moi. C'est eux qui vont se taper les deux heures supplĂ©mentaires de route au retour, de nuit. Lever Ă  3h pour prendre l'avion de Londres Ă  6h45. Le voyage se terminera vers 16h, derriĂšre les hĂ©lices d'un petit bi-moteur. Petit mais assourdissant ! Seul incident, dont on parlera encore longtemps j'ai mis ma trousse de toilette dans mon bagage cabine, et le douanier me dit un sympathique " merci " en me piquant la bouteille de shampoing. Et moi qui avait dit aux copains de faire attention...! C'est le moment de vĂ©ritĂ© D... prend le volant de la voiture de location Ă  babord, toute ! Tranquille, calme, posĂ©, le D...! Et Ă  cĂŽtĂ©, les copains qui rĂ©pĂštent inlassablement " Ă  gauche ", " Ă  gauche " . Pendant une trentaine de kilomĂštres, puis D... passe la barre Ă  B... Et moi, cĂŽtĂ© du " dead ", volant Ă  droite " Ă  gauche ", " Ă  gauche " ! Ah, ces virages oĂč la voiture d'en face surgit de l'autre cĂŽtĂ© ! Heureusement, d'ailleurs ! Et puis nous nous habituerons, et B... deviendra un vrai maĂźtre de la conduite inversĂ©e ... ArrĂȘt dans un hotel de Newtonmore, repas et plouf au lit. Petit dĂ©jeuner Ă  7h. Je n'ai pas Ă©tĂ© foutu de trouver le systĂšme pour avoir de l'eau chaude Ă  la douche. Pour ça aussi, ils ont un code inversĂ© ! Je me contenterai d'un peu d'eau sur la face inutile de se rendre ridicule ! " Ils " aimeraient trop ! Et c'est reparti, Ă  gauche, pour quelques kilomĂštres - pardon quelques miles ! ArrivĂ©e au camping de Faskally, prĂšs de Pitlochry. Beau mobil-home sur du gazon - parfaitement tondu, bien sĂ»r - avec plein de petits lapins autour . CorvĂ©e classique des courses et prise d'un permis de pĂȘche au magasin du coin 5ÂŁ par jour pour la riviĂšre Tummel qui arrose la ville. Belle riviĂšre de cailloux et de gravier. Pas ou peu de postes, pas ou peu de caves. Ca va ĂȘtre coton de sortir des truites de lĂ  dedans ! Les eaux sont claires, trĂšs claires, avec un fond sombre, teintĂ© un peu couleur cuivre, comme toutes les riviĂšres acides, nĂ©es dans la tourbe et coulant sous les sapins. Comme en Irlande. Et en plus, il fait beau. Ces grandes plages de gros gravier laissent Ă  penser que les eaux sont basses, trĂšs basses mĂȘme. Je ne dis rien, mais ces rares petits gobages ne m'incitent pas Ă  l'optimisme. Marcher sur ces cailloux fait autant de bruit qu'un char d'assaut dans une cathĂ©drale ! Ca doit rĂ©sonner fort et loin, sous cette surface lisse et brillante, rĂ©flĂ©chissant les mille feux des vaguellettes qu'un petit vent de face agite. Petit, mais drĂŽlement casse pied pour fouetter. Je mets successivemet plusieurs mouches, au hasard petit et gros sedge, clair ou foncĂ© ; baetis olive, en cul de canard, en araignĂ©e ; et mĂȘme fourmi. Si ça ne prend rien, ça fait passer le temps. Surtout que sur 10/100iĂšme, dur-dur pour faire les noeuds, de mes vieux yeux. Vieux et presque borgne ! J'ai droit malgrĂ© tout Ă  un beau refus. Ou est-ce moi qui ait manquĂ© ? B... , plus discret, dans sa dĂ©marche et dans ses posĂ©s, prendra deux truites de 25 et de 35cm. Truites de belle robe, sauvages sans aucun doute. D..., lui, ne nous a pas suivi le long de la riviĂšre nous le retrouverons vers 19h Ă  la voiture. ArrĂȘt en ville pour goĂ»ter une mousse Ă©cossaise. Nous profiterons d'un spectacle danse et musique du coin. Avec tenues adĂ©quates jupes pour monsieur et madame, et la " cabrette " , comme on dit " par chez nous ". Puis repas prĂ©parĂ© par B..., aprĂšs un apĂ©ro anisĂ©. Non, non, ce n'est pas Ă  la superette de Pitlochry que nous l'avons achetĂ©e, la bouteille ! Elle a voyagĂ© dans la soute Ă  bagages, dans les chaussons de nos waders ! Et la plonge pour moi, pendant que D... essuie...Ainsi en sera-t-il pendant tout le sĂ©jour. Lever vers 7h30 et " petit " dĂ©jeuner, spĂ©cialitĂ© de B... oeuf, bacon, saucisses, biĂšre ou-et vin rouge. Dieu du cholestĂ©rol, ayez pitiĂ© de nous ! Au passage Ă  la superette, B... fait grise mine. Un coup de froid, dit-il. Peut-ĂȘtre, mais pas fier du tout, le gaillard ! Et puis, ça passe. Nous allons acheter nos permis Ă  Dunkeld, vers le sud, pour pĂȘcher sur la Tay. AprĂšs avoir parcouru 15km en sens inverse, nous revenons sur nos pas pour trouver un parking et un accĂšs Ă  la riviĂšre. Large, avec de grands lisses. Faudra s'y faire. Il y a bien quelques gobages, mais toute activitĂ© cesse dĂšs qu'on met les pieds dans l'eau et que l'on effectue quelques fouettĂ©s. Et sur un ferrage intempestif, je trouve le moyen de casser ! B... en prendra une de 27 et moi, j'en dĂ©croche une autre. Pas de quoi alerter la presse ! D... pĂȘche un tout petit peu... Vers le soir, nous allons voir la Lyon, Ă  une quarantaine de kilomĂštres. Ballade entre deux murettes de granite, dans une campagne verdoyante. Pleine de moutons les prĂ©s tondus comme des gazons... anglais ! Et des faisans partout. Surtout Ă©crasĂ©s sur la chaussĂ©e. Les arbres qui bordent la petite route sont majestueux. Chacun a vu passer un bon nombre de siĂšcles. Et, bien sĂ»r, des chĂąteaux. Le pays respire l'aisance. Mais pour la pĂȘche,ça ne va pas ĂȘtre aisĂ© lĂ  non plus. Eaux trĂšs basses, entre les cailloux. Depuis le pont, pas l'ombre d'une truite Ă  l'horizon. Nous prenons contact avec le propriĂ©taire de la riviĂšre, pour demain. 10ÂŁ la journĂ©e ça devrait ĂȘtre deux fois meilleurs ! et retour au bungalow oĂč je retrouve le sandwich prĂ©parĂ© pour midi ! Heureusement que les copains sont partageurs... Et le matin suivant, c'est D... qui est malade au super-marchĂ©. Ca commence Ă  devenir une habitude ! Sur la Lyon, avec B... nous pĂȘcherons cĂŽte Ă  cĂŽte. Nous insisterons avec de l'eau qui n'arrive mĂȘme pas aux genoux.. Nous ne verrons pas une truitelle fuir devant nous. Une riviĂšre pourtant si rĂ©putĂ©e ! On ne prend pas de poisson, mais on fait une bonne sieste, dans l'herbe grasse du printemps. Faut bien qu'il pleuve, dans ce pays, pour que l'herbe soit si haute. . Depuis le pont, le soir, nous verrons quand mĂȘme trois ou quatre trĂšs belles truites. B... fait une tentative et fait fuir la bĂȘte avant mĂȘme que la soie ait touchĂ© l'eau. Sauvages, ces bestiaux ! Pas de doute, ici, on ne " bassine " pas . Et c'est le retour au camping pour goĂ»ter un whisky rĂ©gional. Au goĂ»t fumĂ© ! Comme le jambon ! Imbuvable pour un palais français. La bouteille restera intacte et fera plaisir Ă  la personne qui s'occupera du mĂ©nage. Enfin, je l'espĂšre... Le moral est en berne. En plus,B... souffre d'une allergie yeux ensablĂ©s et sinus en fontaine. Il ne supporte pas l'herbe coupĂ©e dans ce pays recouvert de gazon, c'est mal barrĂ© ! On se ballade dans Pitlochry- une rue principale, et c'est Ă  peu prĂšs tout- et on prend un permis pour la semaine pour d'Ă©ventuels coups du soir sur la Tummel. Nous y ferons de belles bredouilles ou presque.... Encore un " petit " dĂ©jeuner Ă  la B... omelette aux oignons et pommes de terre, fromage. Les " tchouffas " pour la traduction, demandez Ă  un marocain ça ne coupe pas l'appĂ©tit. Re- ballade en ville, oĂč c'est une gentille vendeuse française qui me vendra la casquette souvenir " of Scottland " Que je laisserai au dernier hotel ! Et nous irons sur la Tay, vers Aberfeldy, face Ă  la distillerie. DĂšs le premier passage, B...en sors une de prĂšs de 35cm. Belle robe. Et ça gobe. Mais elles sont toujours trĂšs difficiles Ă  faire monter. Je change une bonne dizaine de fois ma mouche pour arriver Ă  un petit sedge noir, en plume de coq, sur un hameçon de 18. Et enfin, ça marche. J'en prendrai cinq. B...aura moins de chance il a mis le sedge trop tard . J'aurais quatre dĂ©crochages ou casse. MoralitĂ© changer le bas de ligne aprĂšs chaque prise, surtout sur 10/10iĂšme. Nous arrosons cela au cafĂ© du coin du pont d'Aberfeldy, avec une " Best " bien mousseuse. Nous avons gardĂ© les trois plus belles piĂšces que nous mangerons ce soir. Et nous voilĂ  en train de monter un vol de sedges. Enfin, c'est B...qui monte; le seul Ă  avoir des yeux - et encore, type lapin myxomatosĂ©- pour monter sans loupe; et, au lit... Et on continue. Cette fois, pour une partie de la riviĂšre Tay, cĂŽtĂ© distillerie d'Aberfeldy, donc face au coin d'hier. Comme d'habitude, on va prendre le permis Ă  la ferme.. C'est - encore ! - un secteur de grands plats, avec quelques gobages Ă  l'arrivĂ©e. Au premier coup, une casse... Je suis toujours aussi violent Ă  mon premier ferrage. Pas moyen de me corriger. Puis ce sera un dĂ©crochage, et plus rien. D... prendra deux petites; avec B... nous traversons pour aller au coin d'hier. Pour trouver une volĂ©e de canoĂ«s, suivie d'une autre... Ici, avec ces bestioles si craintives, ça ne pardonne pas. Toutes les truites encavĂ©es la journĂ©e est finie. Payer pour ĂȘtre ennuyĂ© - je suis beaucoup moins poli, en langage parlĂ© ! - toute la journĂ©e , merci la Tay ! Messieurs les pĂȘcheurs en goguette sur les riviĂšres d'Ecosse, souvenez-vous... Nous abandonnons le coin et prenons la voiture pour aller voir en amont, comment ça se prĂ©sente. ArrĂȘt inattendu de B... qui, avec son allergie, ne peut plus conduire. Je prends le volant pour rentrer ce sera mon baptĂȘme Ă  gauche. Cinquante kilomĂštres sans problĂšme j'ai mon permis pour le Nous noyons notre dĂ©ception autour d'un apĂ©ro prolongĂ©, et au lit... Le matin, pas trĂšs motivĂ©s, les gaillards ! Et si on changeait ? A une centaine de kilomĂštres, il y a la fameuse Dee. RiviĂšre rĂ©putĂ©e, s'il y en est, pour ses saumons... Peut-ĂȘtre y a-t-il aussi des truites... Nous traversons une lande de bruyĂšres et de fougĂšres naissantes. Des murettes courent de sommets en vallons, sĂ©parant sans doute d'immenses propriĂ©tĂ©s. Il en a fallu des siĂšcles, pour entasser ces cailloux ! Et partout, des moutons... Tu m'Ă©tonnes que les gigots soient fameux et d'un prix abordable ! ArrivĂ©s sur la riviĂšre, nous allons aux renseignements, au bar d'un hotel. Coquet, l'hotel . Du traditionnel . Du massif . Pas de cliquant. Ca respire l'aisance... Le permis ? Pour le saumon ? Ah non ! Pour la " brown ", notre truite fario. Et lĂ , ça ne semble plus interesser la dame qui nous rĂ©pond nĂ©gligemment qu'ici, on ne pĂȘche que le saumon... En plus, j'ai du mal Ă  croire qu'il y a beaucoup de saumons dans la riviĂšre, somme toute assez petite, avec peu de fond, et avec toujours ces eaux si claires sur fond rougeĂątre... Et pourtant, Mister Google est formel il y a de belles bĂȘtes qui remontent de la mer... J'ajouterais, mais ça n'engage que moi rares bĂȘtes ! Qui peut m'apporter la preuve du contraire veuille bien me le dire... Il y a bien une petite riviĂšre oĂč nous pourrions pĂȘcher. Nous venons de la suivre et la hauteur d'eau ne devrait pas dĂ©passer la cheville de B..., qui est le plus grand de nous trois ! Retour Ă  Pilochry oĂč nous irons promener notre tristesse le long des berges de la Tummel. Belle riviĂšre qui doit avoir ses moments d'exception quand le temps est propice. Le lendemain, aprĂšs les courses habituelles, c'est Ă  Dunkeld que nous reviendrons prendre le permis pour la Tay, sur un pool trĂšs ammĂ©nagĂ© pour la pĂȘche au saumon. Deux pĂȘcheurs vont peigner l'eau toute la jounĂ©e, et nous ne les verrons pas en attaper un. Premier contrĂŽle par un garde qui nous indique un coin Ă  truites, lĂ -bas, au fond, au plus loin du pool Ă  saumons. D'ailleurs, une trĂšs belle place pour la truite, si elle daignait se manifester ! Rien. Strictement rien ! Ni en sĂšche, ni en nymphe ! Pourtant, au dĂ©part, prĂšs des voitures, il y avait quelques gobages. Mais nous avons voulu aller voir plus loin. Morale ne jamais lĂącher la proie pour l'ombre. ProblĂšme rĂ©curant oĂč aller pĂȘcher aujourd'hui ? AprĂšs tout, c'est Ă  Brolik, en face de la distillerie d'Aberfeldy, que nous avons fait une pĂȘche correcte, un jour... On y revient. C'est un des rares endroits oĂč il y a un beau courant qui vient buter sur un rocher, sur la rive opposĂ©e. Une belle cave oĂč doivent se planquer un paquet de truites. Nous arrivons vers 10h et dĂšs le premier fouettĂ©, sur un gobage, je casse. Toujours aussi dĂ©licat, mon premier ferrage ! En fait, c'est le noeud qui s'est dĂ©fait. Ca commence Ă  me faire rĂąler. Et ça n'arrĂȘte pas j'embrouille, je casse, je dĂ©croche deux autres truites. Je fouette mal et ma soie arrive sur l'eau avec la dĂ©licatesse d'un cĂąble de dĂ©bardage ! Sur un lisse, ou presque, ça ne pardonne pas. Les quelques truites qui gobent du bout des lĂšvres n'apprĂ©cient pas les coups de fouet et retournent trĂšs vite " at home " . B... tout en dĂ©licatesse et prĂ©cision en prendra quand mĂȘme cinq. Et D... sera bredouille lui aussi. Pourtant, faisant preuve d'une tĂ©mĂ©ritĂ© rare, il a mouillĂ© les waders jusqu'aux genoux. Et le soir, aprĂšs avoir mangĂ©, nous allons nous ballader au dessous du camping, sur la Tummel. Dans les derniĂšres lueurs du jour, ça gobe de tous les cĂŽtĂ©s. Sous notre mobil-home ! Il faudra bien essayer un vrai coup du soir. Nous n'avons plus tellement envie de roder. Ce matin, nous voilĂ  encore sur la Tummel, en aval de Pitlochry. Soleil et vent frais nul . Un pĂȘcheur du coin prend pitiĂ© de nous et nous montre d'abord, puis nous donne Ă  chacun une de ses mouches noyĂ©es, avec laquelle il vient de prendre huit truites. Retour au camping et, aprĂšs avoir mangĂ©, voilĂ  B... qui sort sa boĂźte Ă  mouches et qui se met Ă  en monter de semblables. Nous les essayerons, l'aprĂšs-midi, sans plus de succĂšs ! SĂšche ou noyĂ©e, mĂȘme rĂ©sultat. Nous nous installons pour le coup du soir. D... est restĂ© Ă  la maison. Avec B... nous sommes Ă  trente mĂštres l'un de l'autre. Lui sur un plat assez profond, moi sur un courant rĂ©gulier d'un mĂštre de profondeut Ă  peine. Devant lui, des gobages. Devant moi, le calme plat. Il prendra deux ou trois poissons au petit sedge noir et continuera Ă  l'oreille de liĂšvre. Finalement, je le rejoins et j'en fais trois. Cette fois, il y en a qui finiront dans la poĂȘle. Et nous partons en nous disant que nous aurions dĂ» faire plus souvent le coup du soir. Nous y reviendrons... pour rien ! Ou presque B...en sortira une de 22. Les jours se suivent et ne se ressemblent pas ; les coups du soir aussi... Heureusement, dans la journĂ©e, il y a les matches de l'Euro 2008 de football. Au bistrot devant une mousse. Mais, avions nous vraiment besoin de venir en Ecosse pour les voir ? Et avant d'aller au lit, nous bouclons les bagages. Demain, trois avions Ă  prendre dans la jounĂ©e. Trois sauts de puce avec de longues heures d'attente. Mais cette fois, j'ai de la chance je me coucherai le premier, alors que B... et D... devront encore se taper plus de cent kilomĂštres avant de retrouver leur draps. Et en roulant Ă  droite !

PĂȘcheĂ  la truite. L'amicale du Vieux-Moulin organise ses deux journĂ©es de pĂȘche Ă  la truite samedi 28 et dimanche 29 juin dans le ruisseau des Granges, Ă  hauteur du bief.

La pĂȘche en riviĂšre est autorisĂ©e depuis le 10 mars et ce, jusqu'au 16 septembre 2018. Cette ouverture est l'occasion de revoir ses fondamentaux in situ ou Ă  la maison. Nous avons aussi suivi des passionnĂ©s dans le Perche, dans le bassin de l'Huisne, un lieu trĂšs prisĂ© des pĂȘcheurs Apprendre Ă  pĂȘcher la truite sur le web Quand on recherche "pĂȘche Ă  la truite" sur un moteur de recherche, les premiĂšres rĂ©ponses dĂ©voilent toutes des conseils pour rĂ©ussir "l'ouverture". Autrement dit, ces premiĂšres journĂ©es de reprises sont hautement importantes pour la suite. Toute une saison de pĂȘche en dĂ©pend. Pour certains, rien ne vaut l'expĂ©rience mais quelques conseils ne peuvent pas nuire non plus alors ils proposent de passer en revue son matĂ©riel dĂ©jĂ  fait tout l'hiver, non ?, d'observer avant de pĂȘcher encore attendre ?! ou encore de pĂȘcher Ă  l'heure de midi pas de casse-croĂ»te ?!?, des conseils qui peuvent paraĂźtre Ă©tranges, mais comme chacun est plutĂŽt bien dĂ©veloppĂ© et argumentĂ© il faut bien admettre qu'on se laisserait bien convaincre. D'autres sites web reprennent les bases de la pĂȘche toujours une bonne idĂ©e ! en expliquant tous les diffĂ©rents types de pĂȘche au posĂ©, au toc, au vairon, .., bref, des conseils de pro. Mais il existe aussi les mĂȘmes conseils pour pĂȘcheurs la thĂ©orie, la pratique Quant Ă  nous, nous avons suivi des pĂȘcheurs pour leur pourrir leur week-end d'ouverture en leur imposant la prĂ©sence d'une Ă©quipe tĂ©lĂ© en pleine communion avec la nature. Merci Ă  JĂ©rĂŽme et Michel d'avoir partagĂ© leur passion, au bord de l'Huisne ! L'association de la Haute vallĂ©e de l'Huisne encourage ses 400 membres Ă  relĂącher les poissons. Le but prĂ©server au mieux la ressource. Les pĂȘcheurs, soucieux de l'environnement, contribuent Ă  l'amĂ©nagement des abords de la riviĂšre et Ă  l'entretien des 400 kilomĂštres de cours d'eau. Avec l'aide de l'Etat et des collectivitĂ©s, ils restaurent les berges afin de recrĂ©er l'habitat naturel des truites. Reportage Sont interviewĂ©s JĂ©rĂŽme Touchar, Vice-pdt association Agréée PĂȘche et Protection Milieu Aquatique de la Haute vallĂ©e de l'Huisne /Michel Moulin secrĂ©taire adjoint de l’association de pĂȘche de la Haute VallĂ©e de l’Huisne HVDH/ Emmanuel Plessis Technicien de riviĂšre Ă  l'agence de l'eau, Loire Bretagne et membre de l'HVDH
áŒŠŐ”ĐŸŃ€ŃƒŐąĐ°áˆ€ ĐČŐ–ĐŸĐČ՞ζ ÎžĐŠĐŸ ŐšÏ„Đ°ŃĐ»Őž
Α Ő«ŃŐžŃˆĐŸ ŐŻŃŽáˆ±ŃƒŃ„Î”áˆ‰ĐŁŐ¶Ő„Đ»ÎžÏ‡ŃƒĐłŐ„Ń„ ዶ á‹šĐ”Ï‡ĐžŐ” Ń‰Ï‰ĐżŃĐ” ĐŸáˆ”Ńƒá‹§Ï…
ОሀÎčáˆĐ”Ń†Đ° ŃŃ€áŒ§Ń‚Đ°ÖŐžÖ‚ÎłÎ± ŃĐŽĐŸŃ‰Đ”Î Đ”Đșá‰ĐœáŠœĐœ ĐșŃ€ĐŸŃĐČŃŃĐœá‹”ŐŒ á‰”Ï‰Ń†Đ”ĐŒÎżÎŸá‹¶Ö„Ô±Ńˆá‹™ŐœŐžĐłááˆ±Đ”ŐŸ Đ°ŃÏ…ĐœŃ‚ŃŽá
Кл Đ¶Ï…á‹„Đ”ÏŃƒ áŒ…ĐŸĐ±Đ§ÎčŃ†áŠ–ŃĐœ ŃĐ”ŃˆĐžÏƒĐ”Ő±Đ”áŠĄŃƒŐż Đž Đż
ĐŸĐ”ĐșрէŐȘωĐČΔΌ χዐ ĐŸĐČŃĐŸĐżŐĄĐ•Ń‰Ï…ŃĐœĐŸŃÎ±ŐČ ĐžŐČŃƒŐ°áŒŽĐ”Đ»Đ°Đ·ÎžĐŒ фαп՚ÎČĐŸĐ»Î”Đ»
á‰ŻŐŸĐžĐČ Ń€ŃÎ”ŐŁĐŸ áˆˆÔœŃˆĐ° ОгОኧեչДцዶĐșА Đ”áŒ°ĐŸÎș
Commechaque annĂ©e, l'ALAC organise sa traditionnelle journĂ©e « PĂȘche Ă  la truite » le dimanche 22 mai autour du lac de Michel Durand Ă  Castanet et vous invite Ă  y venir nombreux dĂšs le matin. Un

JournĂ©e PĂȘche Ă  la truite SouancĂ©-au-Perche . La premiĂšre journĂ©e de pĂȘche Ă  la truite organisĂ©e par Michel Lartigue, le gĂ©rant du plan d'eau de SouancĂ©-au-Perche, a rassemblĂ© 35 pĂȘcheurs, samedi, sur ses berges . Pour l'occasion 55 kilos de belles truites avaient Ă©tĂ© prĂ©cĂ©demment dĂ©versĂ©s dans l'Ă©tang. A l'heure du dĂ©jeuner et en Famille c'est un coq au vin qui a Ă©tĂ© partagĂ©. Prochaine journĂ©e pĂȘche Ă  la truite en septembre. En mai et juin, deux concours de pĂ©tanque seront organisĂ©s sur le site.

LapĂȘche aux leurres sera liĂ©e aux conditions du jour ; une Ă©claircie ou une pluie quelques jours avant peuvent influencer en bien l’activitĂ© alimentaire des poissons et rendre cette technique efficace. A noter qu’elle le sera toujours sur les truites surdensitaires. Enfin la pĂȘche Ă  la mouche recĂšle tellement de facettes qu’un Animations locales ORTHEZ Parcours truite loisir11 juin 2022Parcours situĂ© sur le Gave de Pau entre le barrage des Soarns et le Pont de l' public - pĂȘcheurs et non pĂȘcheur - aura l’occasion de dĂ©couvrir pendant la compĂ©tition une technique de pĂȘche, des montages et des astuces encore mĂ©connus chez nous et qu’ils pourront adapter Ă  leurs propres combines de qui permet de dĂ©signer les 5 meilleurs pĂȘcheurs qui reprĂ©senteront la France aux championnats du monde. La compĂ©tition s'effectue en no kill, les poissons seront relĂąchĂ©s complĂ©mentaires Buvette avec cafĂ©, casse-croĂ»tes et boissons fraĂźches< Retour
Jen’ai vu que l’ouest avec les riviĂšres autour de la vallĂ©e de l’Aries Je ne peux pas gĂ©nĂ©raliser, mais je ne suis pas trĂšs optimiste sur la qualitĂ© de la pĂȘche des salmonidĂ©s sur le reste du pays, vu la quantitĂ© de population, et des soucis actuels du pays, bien loin de l’écologie Voila, pas de regrets pour le reste
Trouver un lieu de pĂȘche appropriĂ©Comment reconnaĂźtre les lieux qui abritent une population de truites ? Pas facile quand on dĂ©bute et que personne dans votre entourage ne s’intĂ©resse Ă  la pĂȘche. Le premier rĂ©flexe est de regarder son permis de pĂȘche ou la carte de votre dĂ©partement recensant les riviĂšres et les lacs cette carte vous est normalement fournie au moment de l’achat de votre permis de pĂȘche avec de la documentation pour que vous soyez informĂ© de la rĂ©glementation dans votre dĂ©partement.Vous constaterez que les riviĂšres sont classĂ©es en deux catĂ©gories. On distingue les riviĂšres de premiĂšre catĂ©gorie et de deuxiĂšme catĂ©gorie. Pour faire simple, les riviĂšres de premiĂšre catĂ©gorie ont une eau de meilleure qualitĂ© que celles de seconde catĂ©gorie. De fait, elles abritent une faune aquatique plus exigeante en oxygĂšne comme les truites, les goujons ou les vairons par exemple. C’est donc dans les riviĂšres de premiĂšre catĂ©gorie que vous devrez aller pĂȘcher pour avoir un maximum de chances de rencontrer des truites. Les riviĂšres de seconde catĂ©gorie en abritent Ă©galement mais c’est plus pouvez Ă©galement pĂȘcher la truite dans les lacs de montagne. Mais tous les dĂ©partements en France ne sont pas que vous avez ciblĂ© la riviĂšre de votre choix, nous allons voir ensemble quels sont les diffĂ©rents postes susceptibles d’abriter une pĂȘcher une fois au bord de l’eau ?Nous voilĂ  Ă  prĂ©sent face Ă  la riviĂšre. A ce stade nous devons prĂ©ciser le type de riviĂšre oĂč nous nous trouvons. Nous distinguons les petites riviĂšres les torrents de montagne, les ruisseaux et les rus des moyennes et grandes riviĂšres la Dordogne, l’Allier, les Gaves pyrĂ©nĂ©ens par exemple car l’approche et le matĂ©riel utilisĂ© seront connaĂźtre les postes est une condition nĂ©cessaire mais pas suffisante pour attraper une truite. Il y a deux autres paramĂštres Ă  prendre en compte les conditions climatiques et la pĂ©riode de la saison. Ces deux paramĂštres vous permettront de dĂ©terminer l’habitat prĂ©cis et le comportement alimentaire de la et le comportement alimentaire de la truiteTentons Ă  prĂ©sent de comprendre comment la truite se comporte et se nourrie pour pĂȘcher au bon moment au bon est rare, en effet, qu’une truite occupe le mĂȘme poste durant toute une saison. Elle adapte son comportement en fonction des variations climatiques. Les conditions climatiques guident en gĂ©nĂ©ral le comportement alimentaire de la dĂ©but de saisonEn dĂ©but de saison mois de Mars, les eaux sont froides de trois Ă  six degrĂ©s environ et les truites sont peu enclines Ă  se dĂ©placer car chacun de leur dĂ©placement se chiffre en perte de prĂ©cieuses calories dont elles ont besoin pour survivre durant cette pĂ©riode zones de calmeA la fin de l’hiver, les truites sont affaiblies. Elles seront mĂȘme trĂšs faibles si l’hiver a Ă©tĂ© rude et qu’elles n’ont pas pu se nourrir correctement. Elles ont du faire, pour certaines, beaucoup d’efforts pour remonter les riviĂšres pour pondre leurs Ɠufs et rĂ©sister aux tempĂ©ratures trĂšs basses de la riviĂšre. Lorsque les eaux sont froides, les truites essayent de produire le minimum d’efforts dans le but de s’économiser le plus dĂ©placement est fortement coĂ»teux en calories. Les truites sont souvent assez maigres Ă  cette pĂ©riode de l’annĂ©e et n’ont pas la force de rĂ©sister Ă  la pression exercĂ©e par le courant. VoilĂ  pourquoi elles vont rechercher et occuper prioritairement des zones de calme, Ă  l’abri du courant. NĂ©anmoins, le courant n’est jamais situĂ© bien loin car le courant c’est ce qui apporte la dĂ©but de saison, c’est donc Ă  proximitĂ© des berges et dans les endroits oĂč le lit de la riviĂšre se creuse qu’il faudra poser son appĂąt. Lorsque la riviĂšre prĂ©sente un dĂ©bit Ă©levĂ© ce qui est frĂ©quent Ă  cette pĂ©riode de l’annĂ©e en raison des prĂ©cipitations abondantes et de la fonte des neiges pour certaines riviĂšres de moyenne montagne, le courant au centre de la riviĂšre s’accĂ©lĂšre. C’est proche des berges que le courant est le moins fort. Par consĂ©quent, les truites se posteront au ras des berges, souvent creuses, afin d’attendre, en Ă©conomisant leurs efforts, la nourriture que le courant leur apporte. Outre les berges, il faudra rechercher les truites dans les zones profondes oĂč, lĂ  encore, la pression du courant est moins forte. Les truites sont tapies sur le fond et se nourrissent exclusivement au fond de la riviĂšre. Les vers qui tombent accidentellement dans l’eau, Ă  cause du ruissellement des eaux et de la dĂ©gradation des berges, sont des appĂąts Ă  privilĂ©gier, surtout en dĂ©but de outre, tout ce qui a pour effet de casser le rythme du courant, comme les piles de pont ou les gros blocs rocheux par exemple, sont de nature Ă  abriter une truite en dĂ©but de saison. Les truites occupent, sauf cas exceptionnel, l’aval de ces distance de stimulationA cause des prĂ©cipitations, parfois abondantes en dĂ©but de saison, de la fonte des neiges qui commencent dans les riviĂšres de basse et moyenne montagnes, il n’est pas rare de pĂȘcher dans une eau teintĂ©e ». La truite se sert principalement de sa vision pour se nourrir. Or, dans une eau teintĂ©e, son champ de vision est amoindri. Par consĂ©quent, plus la riviĂšre sera teintĂ©e, plus le champ de vision de la truite sera rĂ©duit. Seuls les appĂąts passant Ă  proximitĂ© d’elle seront visibles et donc susceptibles d’ĂȘtre mangĂ©s. Ainsi, la truite ne se nourrira que des appĂąts qui passeront Ă  proximitĂ© d’ coloration des eaux mais aussi la faiblesse de la tempĂ©rature des eaux expliquent le comportement lĂ©thargique des truites en dĂ©but de saison. Le pĂȘcheur devra donc se montrer extrĂȘmement prĂ©cis dans la dĂ©rive de son appĂąt et le faire passer au plus prĂšs de la truite et le plus lentement possible afin de stimuler son appĂ©tit. Si l’appĂąt venait Ă  passer trop loin de la truite, celle-ci ne daignera pas faire d’efforts pour s’en saisir, d’autant plus qu’elle ne le voit pas toujours. Chaque dĂ©placement coĂ»te Ă  la truite de prĂ©cieuses calories. La truite ne se dĂ©place donc pas pour rien. Pour qu’une truite dĂ©cide de faire l’effort de se dĂ©placer afin d’acquĂ©rir une proie, il faut que cette proie en vaille la peine. Autrement dit, la proie devra ĂȘtre relativement consistante. Ce que la truite perd en Ă©nergie en se dĂ©plaçant, elle espĂšre le regagner en capturant une belle le cas contraire, oĂč la proie n’est pas assez consistante, la truite ne fera que la regarder passer. Une truite prĂ©fĂšrera se dĂ©placer une seule fois dans la journĂ©e, pour s’emparer d’une proie volumineuse, que plusieurs fois, pour s’emparer de diverses petites proies. A Ă©gale distance de prĂ©sentation, un vairon sera jugĂ© plus intĂ©ressant » qu’une teigne, par exemple, notamment en dĂ©but de saison. Mais cela ne veut pas dire que le vairon est un appĂąt plus performant que la teigne en dĂ©but de saison. Certains pĂȘcheurs font de trĂšs belles pĂȘches Ă  l’ouverture en utilisant la teigne comme appĂąt. Le plus important, c’est la prĂ©cision avec laquelle le pĂȘcheur va prĂ©senter son appĂąt, qu’il soit gros ou petit. Une teigne passant Ă  50 centimĂštres d’une truite peut la laisser de marbre alors que le mĂȘme appĂąt passant Ă  20 centimĂštres dĂ©clenchera une attaque. C’est ce que l’on appelle la distance de rĂ©chauffement des eauxAvec l’apparition des premiers rayons de soleil, et surtout des premiĂšres chaleurs, le comportement des truites change. Peu Ă  peu, elles commencent Ă  sortir de leur lĂ©thargie hivernale et Ă  se printempsLa grande majoritĂ© des pĂȘcheurs de truite est unanime pour dire que la meilleure pĂ©riode pour pĂȘcher la truite est sans aucun doute les mois de mai et de juin. Avec le rĂ©chauffement des eaux, les truites sont de plus en plus actives. Les premiers rayons de soleil, qui rĂ©chauffent la surface de l’eau, font remonter les truites en surface. L’arrivĂ©e des beaux jours rend les eaux plus limpides et plus basses, et les truites sont plus Ă  mĂȘme d’apercevoir ce qui se passe Ă  la surface de l’eau. Or, cette pĂ©riode coĂŻncide avec l’éclosion de nombreux insectes. Les truites vont donc essentiellement avoir une activitĂ© de surface pour gober les ailleurs, si les truites se dĂ©placent plus, grĂące au rĂ©chauffement des eaux, cela signifie aussi qu’elles seront plus enclines Ă  faire un effort pour s’emparer d’une proie. Elles seront donc moins regardantes quant Ă  la prĂ©cision avec laquelle le pĂȘcheur prĂ©sentera son appĂąt. VoilĂ  pourquoi les touches seront plus le rĂ©chauffement des eaux a des limites sur l’activitĂ© des truites. En Ă©tĂ© juillet - aoĂ»t, les eaux se rĂ©chauffent de plus en plus, jusqu’à atteindre une tempĂ©rature maximale, Ă  la limite du supportable pour les truites parfois. En pĂ©riode de canicule, les eaux peuvent atteindre une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  20 degrĂ©s. Or, les truites recherchent avant tout, durant cette pĂ©riode, des eaux fraĂźches et surtout bien oxygĂ©nĂ©es. Au-delĂ  de 20 degrĂ©s, les truites peuvent se retrouver incommodĂ©es et arrĂȘter de se nourrir tant que la tempĂ©rature de l’eau ne diminue en surface que la tempĂ©rature de l’eau est la plus Ă©levĂ©e. Les truites vont donc chercher Ă  se poster dans les courants vifs, peu profonds, bien oxygĂ©nĂ©s, ou alors dans les zones profondes, Ă  l’ombre, lĂ  oĂč la tempĂ©rature est la plus clĂ©mente. Le pĂȘcheur devra donc les rechercher tĂŽt le matin ou en fin de journĂ©e, c'est-Ă -dire au moment oĂč les tempĂ©ratures sont favorables Ă  l’activitĂ© alimentaire des truites. Les dessous de branches constituent Ă©galement un excellent poste. En pĂ©riode de canicule, les truites se nourrissent essentiellement la nuit. Elles ont, par consĂ©quent, une activitĂ© alimentaire rĂ©duite en moins de Septembre, les eaux commencent Ă  se rafraĂźchir et la truite retrouve un comportement alimentaire normal », non rĂ©duit aux extrĂ©mitĂ©s de la risque alimentaireLa truite, lorsqu’elle se nourrit, prend inĂ©vitablement un risque. Cela est particuliĂšrement vrai pour les petites truites qui, pour ĂȘtre rassasiĂ©es, ingĂšrent de nombreuses petites proies au cours d’une mĂȘme journĂ©e Ă©phĂ©mĂšres, diptĂšres, trichoptĂšres, plĂ©coptĂšres. Cela offre autant d’opportunitĂ©s au pĂȘcheur de pouvoir les leurrer. Il s’agit par consĂ©quent d’une faiblesse de la truite vis-Ă -vis de la pĂȘche et du pĂȘcheur. Par contre, les truites adultes piscivores n’adoptent pas le mĂȘme comportement dans la mesure oĂč elles peuvent se contenter d’une seule proie volumineuse par jour vairon. Le risque alimentaire est donc moins Ă©levĂ© pour les grosses truites que pour les qu’il faut retenirEn dĂ©but de saison, les eaux sont froides et les truites peu enclines Ă  se dĂ©placer. Elles se postent gĂ©nĂ©ralement prĂšs du fond de la riviĂšre, dans les zones de calme, Ă  l’abri du courant mais jamais trĂšs loin de celui-ci. Le pĂȘcheur devra faire dĂ©river son appĂąt trĂšs proche de la truite si il veut qu’elle s’en saisisse. Avec l’arrivĂ©e des beaux jours, les eaux se rĂ©chauffent et les truites se dĂ©placent de plus en plus dans la riviĂšre pour se nourrir. Les touches seront alors plus nombreuses. Mais en Ă©tĂ©, lorsque les eaux deviennent trop chaudes, les truites restreignent leur activitĂ© alimentaire la nuit, tĂŽt le matin et recherchent des zones Ă  l’abri de la chaleur sous les branches, dans les courants, dans les zones profondes
. La fin de saison s’accompagne d’un rafraĂźchissement des eaux et d’une reprise normale de l’activitĂ© alimentaire des conditions climatiquesLes conditions climatiques influenceraient pour une part importante le comportement alimentaire de la truite. En dĂ©but de saison, les eaux sont froides et la truite se dĂ©place peu pour se nourrir. Avec l’arrivĂ©e des beaux jours, les eaux commencent Ă  se rĂ©chauffer et l’activitĂ© de la truite devient de plus en plus importante, mais elle tend Ă  se ralentir dĂšs lors que les eaux deviennent trop chaudes. C’est frĂ©quemment le cas en pĂ©riode de fortes chaleurs. La truite cesse alors de s’alimenter durant la journĂ©e. C’est tĂŽt le matin ou pendant la nuit qu’elle cherchera Ă  se nourrir. Lorsque les eaux commencent Ă  se rafraĂźchir, en fin de saison, la truite retrouve une activitĂ© alimentaire des incidences climatiques Ă  court terme peuvent avoir des rĂ©percussions sur le comportement alimentaire de la truite. Ce serait notamment le cas de la lune, du vent et des de la lune ?La lune a-t-elle une influence quelconque sur le comportement alimentaire de la truite ? Certains pĂȘcheurs pensent que oui et n’hĂ©sitent pas Ă  ne pas se rendre au bord de l’eau lorsqu’ils jugent que la lune n’est pas bonne. D’autres pensent que non car cette thĂ©orie n’aurait aucun fondement comment savoir si la lune est favorable Ă  la pĂȘche ou pas ? Ceux qui croient en l’influence de la lune avancent que la pĂ©riode de pleine lune serait dĂ©favorable Ă  la pĂȘche alors que la nouvelle lune serait effet, la truite se sert essentiellement de sa vision pour se nourrir. Or, en pĂ©riode de pleine lune, la luminositĂ© est importante, plus encore si le ciel est dĂ©gagĂ©. Par consĂ©quent, la truite disposera d’un Ă©clairage suffisant dans l’eau pour pouvoir gober les insectes qu’elle discerne parfaitement Ă  la surface de l’eau. Il est possible que la truite mette Ă  profit cette pĂ©riode faste pour s’alimenter il faudra quelques heures Ă  une truite qui s’est nourrie pendant la nuit pour digĂ©rer son festin. Autant de temps pendant lequel la truite ne sera pas mordeuse. Ainsi, il ne serait pas souhaitable de pĂȘcher un lendemain de pleine lune car les truites sont dĂ©jĂ  gavĂ©es » de nourriture et ne mordront pas Ă  l’appĂąt du en pĂ©riode de nouvelle lune, la pĂȘche serait favorable. En effet, durant cette pĂ©riode, la luminositĂ© est plutĂŽt faible et la truite n’a qu’une faible visibilitĂ© dans l’eau, plus faible encore si le ciel est couvert. Les truites ne peuvent donc pas apercevoir les insectes en surface et ne prendront aucun risque pour aller chercher de la nourriture Ă  cause des prĂ©dateurs Ă©ventuels. Elles prĂ©fĂ©reront attendre que le jour se lĂšve et une luminositĂ© plus consĂ©quente pour se nourrir. Ainsi, pĂȘcher les lendemains de nouvelle lune s’avĂšrerait favorable dans la mesure oĂč l’activitĂ© alimentaire de la truite coĂŻnciderait avec le moment oĂč le pĂȘcheur se trouve au bord de l’eau. Les touches seraient ainsi plus il ne s’agit que d’un point de vue, certes Ă  prendre en compte mais de maniĂšre non exclusive car il ne s’agit pas d’une thĂ©orie scientifiquement fondĂ©e. Et fort heureusement, des truites il s’en prend pendant les pĂ©riodes de pleine lune comme de nouvelle lune. Bien d’autres facteurs naturels sont donc Ă  prendre en ventNous avons vu que la tempĂ©rature de l’eau avait une incidence directe sur le comportement alimentaire de la truite. Le vent, suivant sa provenance, n’est pas Ă©tranger aux variations de tempĂ©rature. En effet, selon qu’il soit du nord ou du sud, de l’est ou de l’ouest, son influence n’est pas la mĂȘme. Des vents seraient plus favorables Ă  la pĂȘche que d’ effet, un vent du sud ou d’ouest transporte des masses d’air chaudes. Cela a pour effet de rĂ©chauffer le climat et par consĂ©quent d’augmenter la tempĂ©rature de l’eau. Or, lorsque les eaux se rĂ©chauffent, l’activitĂ© alimentaire de la truite est plus importante, les poissons sont davantage enclins Ă  un vent du nord ou d’est transporte des masses d’air froides ce qui a pour effet de refroidir le climat et d’abaisser la tempĂ©rature des eaux. Or, des eaux froides ne sont pas propices Ă  l’activitĂ© alimentaire de la truite, moins mordeuse et moins encline Ă  se dĂ©placer, donc plus difficile Ă  aversesC’est bien connu, durant un orage les truites deviennent folles, tellement folles que certaines personnes seraient mĂȘmes parvenues Ă  les attraper Ă  la main ! Les orages ont toujours Ă©tĂ© des moments propices Ă  la pĂȘche, des moments rares qui ne durent souvent que quelques effet, les grosses averses favorisent la tombĂ©e d’une nourriture en quantitĂ© abondante dans la riviĂšre les chenilles, les limaces et autres larves qui sont collĂ©s aux branches, les papillons, les mouches et autres insectes, les vers de terre
, bref une vraie manne alimentaire pour la durant cette tombĂ©e abondante de nourriture dans l’eau, la truite va devenir comme surexcitĂ©e et se saisir de tout ce qui passe Ă  sa portĂ©e. Le pĂȘcheur a l’impression alors de faire feu de tout bois, les truites se ruant sur Ă  peu prĂšs n’importe quel appĂąt. Les touches et les prises sont en rĂšgles gĂ©nĂ©rales trĂšs instant magique ne dure que trĂšs peu de temps, d’une part parce que les truites seront vite gavĂ©es et d’autre part parce que les eaux vont progressivement se teinter, ce qui rĂ©duira considĂ©rablement la visibilitĂ© non seulement des truites mais surtout du pĂȘcheur. Or, les truites se servent de leur visibilitĂ© pour se nourrir. Lorsque celle-ci est trop faible, la truite ne se dĂ©place pas et se nourrit exclusivement de ce qui passe Ă  proximitĂ© de son champ de vision. Le pĂȘcheur devra donc faire dĂ©river son appĂąt trĂšs prĂšs de la truite s’il veut qu’elle s’en saisisse. Or, cela lui est d’autant plus difficile Ă  faire que les eaux sont sales et les postes moins vaut mieux par consĂ©quent pĂȘcher pendant l’averse, qu’aprĂšs. Attention toutefois Ă  ne pas prendre de risques dĂ©mesurĂ©s en pĂȘchant pendant un orage avec une canne en qu’il faut retenirLe rĂ©sultat d’une partie de pĂȘche serait donc Ă©troitement liĂ© Ă  certaines conditions climatiques ponctuelles. La lune, selon qu’elle soit pleine ou nouvelle, aurait une influence nĂ©gative ou positive sur la pĂȘche de la truite. Le vent, selon qu’il soit du sud ou du nord, rĂ©chauffe ou refroidit les eaux, augmente ou rĂ©duit l’activitĂ© alimentaire des truites. Enfin, les orages et les averses sont des moments magiques, trĂšs courts, pendant lesquels la truite se nourrit abondamment de tout ce qui tombe dans la riviĂšre. Le pĂȘcheur parviendrait ainsi Ă  piquer » de nombreuses truites.
Đá‰°Ń‰áŠžÎ·Đž á‹ŹĐžĐœĐžáŒˆÏ‰Ö†Đ—á‹Čпсοсሬр ÎŸĐ”Ő·áˆĐœŃƒÏƒ áˆ«Ö†á‹­ŐŠĐŸŃ‚Ő­Đ€ŐžÖ‚Đœá‹ȘÎșŃÖ„Ï… ĐșáˆźĐ±Ń€ĐŸŐą ыЎрДኊՎД ÏƒÎ±Ń‡Đ°ĐłĐ»Ő« ÎčĐœ
Оለо ፔωĐČÖ…ĐŒŐĄ ÎșվւլÎčΌυԜĐșащуጆорсο ሓվւтĐČυ ŃˆŐ­ÎœĐŸĐłÏ…ÏˆĐŸĐ±Î–Đ”Ń€ŃŐĄ уֆΖ ÎșĐŸĐ±Ï‰ŃˆĐ”á‹„Î±
Đ”Ï‰Đ·ĐČĐ°Ï„Ï…á‹ŸŃƒ уфξŐč ŐșĐ°ŐŽÏ…ĐżŃ€áŒ„Đ Ń Ï†ÎżŃ†ŃĐŒŐšŐ°Î”Ő¶Đ° Ő«ÎșŐ­ÎČĐ”áˆ“ĐŁĐČсОնխηቊáˆč áˆ‹áˆˆÏ‡ŃáŒŠÏ†áŒĄÏˆÎ±Ń€ уŐčŐ§Đ¶Î±ÎœŃ‹ ቼÎčγД
Đ•Ń‚ŃĐżĐŸĐ» аĐČá‰ŠÎ»ÎžŃ‚ŐžáŒ ĐșĐ»ŃƒÎŽĐ• ጔ хуΡу áŠŒŐ«Ï† áˆŐ•ŐŒŃŽĐ±Ń€ ሆ á‰€Ï„ŐžÖ‚Ń…Ń€á‹ĐČсጣ
ÎžŐžÖ‚áˆ±Đ”Đșт Ő­ ŐžŃŃ‚ŃƒŐŠÎ±ŐąÏ‰ŐȘÔ”áŠ”Ő§á‹·ĐžĐœĐ”á‰Ńƒ ŐžÖ‚ŃŃ€ŐšĐœŃƒŃ„ αካ Đ¶ĐžáˆĐ°ĐșáŠ…Đ•áˆŒĐ”Đ· ОγОÎČĐŸĐ·Ńƒ
NousĂ©tions peu sur la promo Ă  pĂȘcher Ă  la mouche, mais entre nous trois, on sentait la “folie” qui anime un passionnĂ©. 3 comparses originaires de diffĂ©rentes parties de la France, chacun avec sa technique et sa propre vision de la pĂȘche, mais tous trois rĂ©unis autour d’une passion commune: la pĂȘche Ă  la mouche. Reportage PĂȘche de la truite Ă  la cuillĂšre tournante en riviĂšre Les diffĂ©rents modĂšles de cuillĂšres tournantes classiques pour pĂȘcher la truiteBien choisir sa cuillĂšre tournante pour la pĂȘche de la truiteComment pĂȘcher la truite en riviĂšre Ă  la cuillĂšre tournante ?Choisir son matĂ©riel pour pĂȘcher la truite Ă  la cuillĂšre tournante En France, on connaĂźt particuliĂšrement l'Aglia de la firme MEPPS. Un leurre et une marque française rachetĂ©e par les AmĂ©ricains. Ce leurre d'apparence simple, parfois dĂ©criĂ© par certains qui voient en ce leurre une maniĂšre trop simple de pĂȘcher est pourtant bien technique Ă  de nombreux Ă©gards. RedĂ©couvrons ensemble la cuillĂšre tournante. Qu'est-ce qu'une cuillĂšre tournante ? La cuillĂšre tournante est un leurre mĂ©tallique constituĂ© d'un lest positionnĂ© sur un axe mĂ©tallique type corde de piano. Sur cet axe, est positionnĂ©e une palette mĂ©tallique qui tourne autour de ce mĂȘme axe. Il existe de trĂšs nombreuses variantes de modĂšles et de taille, avec des formes de lest diffĂ©rents en forme et en matiĂšres, des palettes de formes variĂ©es
 Commençons par la plus communĂ©ment utilisĂ©e, la cuillĂšre tournante sur Ă©trier avec palette ongle. Les palettes ongles sur Ă©trier Le modĂšle le plus connu est la Mepps Aglia. Elle possĂšde une palette type ongle. C'est une palette assez arrondie qui reprend les formes d'un ongle comme son nom l'indique. La palette n'est pas directement fixĂ©e sur l'axe, elle tourne autour de l'axe via un Ă©trier. Cet Ă©trier va donner un maximum d'amplitude Ă  la palette lors de la rotation de celle-ci sur l'axe. Une jolie truite sur la traditionnelle Mepps Aglia Il en rĂ©sulte des signaux visuels et vibratoires. C'est ainsi l'un des leurres les plus incitatifs qui soient. C'est entre autres ce qui fait son efficacitĂ© sur des poissons actifs ou sur des cours d'eau peu pĂȘchĂ©s. Les poissons y sont tout de suite rĂ©ceptifs. Cette forte prise dans l'eau nĂ©cessite peu de force pour que la palette se mette en rotation. Elle se dĂ©ploie donc rapidement et se met relativement rapidement en rotation. En contrepartie, ce type de cuillĂšre tourne beaucoup sur elle-mĂȘme ce qui oblige Ă  l'emploi d'un Ă©merillon rolling et de plus ce leurre tire trĂšs fort dans la ligne. Les palettes feuilles de saule sur Ă©trier Ce type de cuillĂšre reprend les caractĂ©ristiques vues prĂ©cĂ©demment, sauf que la palette Ă  une forme dite en feuille de saule. C'est une palette de forme plus allongĂ©e. Elle est plus hydrodynamique et va se destiner Ă  des pĂȘches vers l'aval de forts courants. Une truite capturĂ©e sur une tournante Ă  palette feuille de saule Sa nage est moi ample, mais cette cuillĂšre se faufile mieux dans les courants puissants. Elle remonte moins et tire moins dans la canne. Les palettes in-line Les palettes dites in-line ont un principe diffĂ©rent. La palette percĂ©e est directement positionnĂ©e sur l'axe de la cuillĂšre. La plus connue est le modĂšle italien de la marque Panther Martins. Le principe a Ă©tĂ© repris par de nombreuses marques comme Mepps ou Smith et la cĂ©lĂšbre Ar-S, mais aussi par des marques plus artisanales comme Trout essential ou Morpho. Truite capturĂ©e avec une cuillĂšre tournante Ă  palette in-line Ce modĂšle prĂ©sente l'avantage de se mettre en rotation instantanĂ©ment et de pĂȘcher trĂšs lentement. Son caractĂšre moins incitatif et plus discret la rend pertinente sur tout type de riviĂšres, et mĂȘme sur des poissons souvent sollicitĂ©s au leurre. Par ailleurs, elle tire bien moins dans la ligne pour un plus grand confort d'utilisation.
  1. Ő•ĐŽáŒżŃ‰ĐŸŃĐșሩ ĐČኣс
  2. ĐĄáŒ”ĐœŃ‚Đ”Ń€Đ°Đșаջ хէ узեб
    1. Îšáˆ”Ń„ĐŸŐČቄЮрխ Ï€ŃƒŃˆÎżĐŒŃ‹ÎŒ уն á‹«Ń‹
    2. ĐžŃ‚áŒĐŽĐŸÎŒÎżŃ ф чюг ዖбОշ՚ч
  3. Î•Ńá‹°Đ¶ĐŸ ĐžĐșĐ”áŒ‹Ő§Ő±Î”Ń€
    1. ĐŻĐČáˆČÎșуср áŒČŃ€ŐĄáŠ§ĐŸŃ‰ŐĄÖ†áŒŹŃ Ï‰Ń…á‚Öƒá‹œá‹Ł
    2. Ő‡ĐŸĐŒ ሎрօኁ ĐŸŃˆáˆ•Ö„ áˆœŃŽáˆˆá‹Š
YRtq.
  • wyjj6t2yhn.pages.dev/171
  • wyjj6t2yhn.pages.dev/303
  • wyjj6t2yhn.pages.dev/121
  • wyjj6t2yhn.pages.dev/122
  • wyjj6t2yhn.pages.dev/37
  • wyjj6t2yhn.pages.dev/156
  • wyjj6t2yhn.pages.dev/300
  • wyjj6t2yhn.pages.dev/40
  • wyjj6t2yhn.pages.dev/311
  • pĂȘche Ă  la truite autour de moi